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blackbird a écrit :
j-r a écrit :
je vais te donné ma solutiontu prends une friteuse ( une vieille ou alors maman 😡 )
tu mes du fuel rouge a la place de l’huile
tu chauffes le fuel (environ 180°)pour le maximum de la chauffe
tu prends une petite casserole
et tu mes ça dans les cylindres
( ATTENTION AUX MAINS AVEC LE FUEL CHAUD)
la tu vas entendre (tic tic tic …..)
la dilatation du metal c’est normal chaud et froid
[ Edité par j-r le 17/1/2009 16:33 ]je suis Sapeur Pompier et ce que je viens de lire me fais dresser, le peu de cheveux qui me restent sur la tète.
Je suis désolé pour mes propos mais je vais etre direct.
Il faut etre complétement malade pour faire chauffer du fuel dans une friteuse.
Si tu as déjà fait cette expérience et que rien ne c’est passé, c’est que tu as eu beaucoup de chance.
Pour info :
Le point éclair du fuel est de 55 °C. Ce qui veut dire qu’a 55° il suffit d’une flamme pour qu le liquide s’embrase dans l’air ambiant.
Le point d’ébullition est à 180°C
Le point d’auto inflammation est à 250 °C
Je crois que ces données parlent d’elles mème. Alors de grace, arretons les conneries.
Foutre le feu à son garage ou/et finir à l’état de merguez carbonisée pour dégripper un moteur, je sais pas si le jeu en vaut la chandelle.
Dans mon boulot, j’en voit beaucoup, mais celle là je peut l’inscrire dans le top dixSlt,
Pourquoi ne pas mettre par trou de la bougie 500gr de TU3000 un déto puis boum il est décallé.
J’en ai déjà entendu dans ma garce de vie, mais le coup de la friteuse c’est le pompom.
Lorque l’on entreprend une restauration il faut un minimum de bon sens et travailler dans les régles de l’art.
Si moteur callé, dépose cullasse, laisser agir dégrippant ou chauffer piston avec un chalumeau et démontage des pistons. Evaluation des dégats, réparer, remplacer et remontage.
@+Michel[ Edité par blackbird le 17/1/2009 17:21 ]
Slt,
2gaulles s’en est souvenu, lui.
@+Pour 15€ cela ne vaut pas la peine d’entreprendre la restauratin d’un croisillon d’une jeep.
Vous cassez pas la tête de savoir cémentattion ou pas.
Pour les 1000 à 2000km parcouru par année une frête en acier chrome molybdène trempée + revenu est suffisant.
Enfin chacun fait son lit à sa manière.
2gaulles en est un exemple.
@+Slt,
Que celui qui a un carter démonté, le remplir de 4l d’huile, je ne suis pas convaincu que le vilbrequin barbaotte dans l’huile.
@+Mighty a écrit :
Marsares tu nous a promis une photo de cette Jeep en entier si le marché se réalisait .
On attends les bonnes nouvelles avec impatience .
As-tu acheté cette Jeep ?Slt,
Négociation difficile, puis le vendeur est parti en vacance. J’en saurais plus début de l’année. Wait and see.
@+Slt,
Pour 15€ un nouveau, cela vaut-il le coup.
Enfin la satisfaction d’avoir restauré un croisillon de cardan pourquoi pas.
@+Slt,
Bienvenu chez les foldinguos
@+[ Edité par Marsares le 19/12/2008 21:18 ]
Michel94 a écrit :
Je demande qu’à apprendre …Pour moi, le vilbrequin barbotte dans l’huile et il est aspergé par la pompe.
Faut te dire que je suis un ancien plombier et pas mécanicien 😀
Slt,
Y a pas de sot métier, pour parfaire ta culture en mécanique, quand il y a une pompe à huile il n’y a pas de graissage par barbotage.
Si il y avait graissage par barbotage le carter serait plus petit et la tête de bielle serait équipée d’une cuillère pour le graissage.
Dans le cas du moteur d’une jeep avec pompe, le niveau d’huile se situe en dessous du vilbrequin et le carter fait fonction de reservoir.
@+Slt,
@+
http://images.google.com/images?q=jeep&q=source%3Alife[ Edité par Marsares le 19/12/2008 15:27 ]
Michel94 a écrit :
L’usure des coussinets et du vilbrequin sont sans effet sur la pression d’huile,Slt,
Tout faux, quand le vilbrequin et les coussinets sont usées, fait ce que tu veux tu n’auras jamais une bonne pression d’huile
@+Slt,
Fixation du bas portière
Fixation haut portière
Fixation montant pare brise
Fixation sur le rebord de la caisse
Fixations sur montant de la portière
Slt,
L’expérience est le résultat des échecs.
Mais tout cela se passait en 1976, depuis les us et coutumes ont bien changés. Nitendo, balladeur, portable, internet,PSP, …
C’était le bon temps… en 76
@+[ Edité par Marsares le 18/12/2008 21:39 ]
Miller a écrit :
vous ne m’avez toujours pas répondu : y’a t-il des faisceaux pour des Dodges WC54 dispo ?Merci
Slt,
Va faire un tour là, il y a 3 pages: http://dodgewc.frbb.net/le-dodge-weapon-carrier-f1/faisceau-electrique-t1319.htm
@+Parce qu’a l’époque le pétrole était et est toujours tiré du sous sol.
Donc à l’époque le pétrole était un produit d’origine minéral et les premiers véhicules utilisaient un dérivé du pétrole. D’ou l’appelation minéralogique.
Tu sais en 1942 les huiles minérales pour Jeep bien maintenant on parle aussi d’huile synthétiques.
Va voir sur Google c’est plus simple et instruisant.
@+Benleroy a écrit :
Désolé de ne pas pouvoir t’aider, mais qqn peut il me dire d’ou viens l’appellation “Mines”?Les premières plaques d’immatriculation en France ont été attribuées par le service des mines, désormais la DRIRE (d’où le nom de plaque minéralogique). Alors que l’automobile commence timidement à apparaître vers 1890, remplaçant les calèches et les chevaux, il fallait un système pour reconnaître les propriétaires de ces nouvelles machines. Auparavant, il n’y avait aucun système national et c’est en France que la première plaque fut apposée le 14 août 1890 par l’ordonnance de la Préfecture de Paris. Chaque véhicule à moteur devait dès lors comporter une plaque métallique sur le côté gauche de l’engin. Bien visible, elle comportait le nom, l’adresse du propriétaire et un numéro d’autorisation. Le système débute vraiment dans les faits à Lyon en 1900. Il fallait pour entrer dans le parc de la tête d’Or, une plaque qui devait être rendue le soir même. Puis, en juillet, chaque automobiliste de Lyon reçut un numéro personnel. Quant aux touristes, ils reçurent une plaque valable pendant tout leur séjour, plaque payante cependant. L’année suivante, la plaque numéralogique fut généralisée dans
toute la France, de jour comme de nuit, apposée à l’avant comme à l’arrière. Elle fut obligatoire pour tout véhicule dépassant 30 km/h. On y trouvait trois chiffres jusque 999 puis une lettre correspondant plus ou moins aux grandes villes (B comme Bordeaux). Par la suite, les chiffres et les lettres vont se multiplier en fonction du parc automobile en pleine croissance. Les départements furent indiqués en 1928 toujours par des lettres (G=Gironde). C’est finalement en 1950 que le système fut complètement revu. Il correspond à notre système actuel puis s’étendit aux DOM-TOM et aux colonies (en Algérie notamment). C’est en janvier 1972 que les nouvelles plaques comportèrent trois chiffres, trois lettres puis le numéro départemental. Quant à la Corse, coupée en deux en 1976, ses départements deviendront 2A et 2B. Dans le monde, la tendance suivit. Le premier système d’enregistrement des véhicules au niveau national eut lieu aux Pays-Bas en 1898, huit ans plus tard, on en était au numéro 2065 ! Le système gagna les Etats-Unis : chaque état dut émettre des plaques d’immatriculation. Dans l’état de New York, cela fut fait dès 1901. Au début, tout cela était bien chaotique : les automobilistes et les constructeurs devaient les fabriquer eux-mêmes. Les plus vieilles plaques d’immatriculation furent réalisées en porcelaine cuite ou en céramique. Bien sûr, ce système était très fragile et les ingénieurs se penchèrent sur le problème. On testa le carton (pas terrible en temps de pluie), le cuir, pour plus tard essayer le plastique. En période de guerre, certaines plaques furent fabriquées en cuivre. Rien n’était réglementé à l’époque, ainsi les formes, les couleurs et les dimensions étaient complètement différentes selon l’origine et cela n’était pas sans poser problème. La standardisation des plaques d’immatriculation eut lieu en 1957 après concertation avec les constructeurs et les organismes internationaux de normalisation. Aujourd’hui, il existe trois formats standard : un pour le continent américain, un autre pour l’Europe, les anciennes colonies et les DOM-TOM, puis enfin le troisième pour l’Australie et certains pays du Pacifique. À partir de 2008, le système devrait changer en France. Désormais, les plaques d’immatriculation seront attribuées à un véhicule à vie. Ainsi, on ne fera plus référence au département. Enfin, sachez qu’il est toujours possible pour certains propriétaires de réserver des petits numéros sensés accorder l’indulgence des forces de l’ordre (en tête des demandes figurent les numéros de 11 à 20), mais il n’est pas sûr que désormais, vous échappiez aux PV pour autant !
Source:
http://www.aquadesign.be/calendrier/plaque-immatriculation,316.html -
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